Contact- TARIFS

1. Cabinet privé

71 rue de Pérote
40160 Parentis en Born

2. à domicile

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Langage des signes

Pour personnes sourdes et malentendantes

1. Cabinet privé

TARIFS – ESPACE BIEN ETRE

RDV AU CABINET ou A DOMICILE
Réservation par tél au 06 66 59 93 68

MASSAGE BIO ENERGETIQUE

1h ………………………………………………… 90 €

30 min …………………………………………… 45€

Détoxifiant, revitalisant, apaisant

SOINS ENERGETIQUES

1h ………………………………………………….. 55 €

Soin flash / Enfant / 20 min …………… 35 €

Animal / 20 min ……………………………… 25€

Apaise, détend, soulage les douleurs
Renforce le système immunitaire

MASSAGE ASSIS

20 min ………………………………………….. 25 €

Détend les mucles du dos,

Evacue le stress, redynamise.

 

 

CHAMBRE DE MEDIATION

Conformément aux articles L.616-1 et R.616-1 du code de la consommation, nous proposons un dispositif de médiation de la consommation. L’entité de médiation retenue est : CNPM – MEDIATION DE LA CONSOMMATION. En cas de litige, vous pouvez déposer votre réclamation sur son site : https://cnpm-mediation-consommation.eu ou par voie postale en écrivant à CNPM – MEDIATION – CONSOMMATION – 27 avenue de la libération – 42400 Saint-Chamond

CODE DE DEONTOLOGIE DE LA THERAPIE HOLISTIQUE

Article.1
Le Thérapeute Holistique est un formateur, éducateur, accompagnant à
la santé.
Il prend en compte la personne dans sa dimension physique,
psychologique et existentielle/spirituelle, ainsi que les liens qui
communiquent entre ces trois corps.
Article.2
Le Thérapeute Holistique n’intervient pas dans le suivi médical de son
client. En aucun cas cette démarche ne se substitue aux traitements
médicaux.
Article.3
Le Thérapeute Holistique reconnaît la dignité de tout être humain et
respecte la diversité des opinions et des croyances de son client. Il ne
l’exploite pas, notamment dans les domaines psychologiques, sexuels
et financiers. Il fixe ses honoraires en conscience et en accord avec son
client. Il favorise son autonomie à tous les niveaux.
Article.4
Le Thérapeute Holistique est tenu au secret professionnel vis à vis de
tous, y compris de la famille, du milieu médical et paramédical.
Article.5
Le Thérapeute Holistique s’abstient de tout dénigrement vis à vis d’un
client, d’un autre Thérapeute, de la profession et de toute profession
médicale ou paramédicale. Il se reconnaît la responsabilité de
confronter en privé un autre praticien, s’il a des raisons de penser que
celui-ci ne respecte pas la présente déontologie
Article.6
Le Thérapeute Holistique ne s’approprie pas pour son usage personnel,
les logos, noms d’associations, titres de séminaires ou d’ateliers,
appartenant à d’autres sans leur accord préalable.
Article.7
Quand le Thérapeute Holistique change d’adresse, organise des
conférences et manifestations publiques ayant trait à la profession, il est
souhaitable que par courtoisie il se coordonne avec l’association
française ou avec son formateur.
Article.8
Après deux années de formation, le Thérapeute Holistique s’engage à
poursuivre son développement professionnel et personnel et à
maintenir son niveau de compétence.
Article.9
Les prestations du Thérapeute Holistique sont conformes à la législation
en cours du pays où il exerce.
Article.10
Le Thérapeute Holistique applique ses compétences sans obligation de
résultat, en sachant qu’il n’est engagé, que pour une part, dans le
processus de guérison d’une personne.

CODE DE DEONTOLOGIE DE LA PRATIQUE DU MASSAGE DU BIEN-ETRE.

1. Champ d’application
Le code de déontologie rassemble des principes éthiques et devoirs communs à
l’ensemble des métiers du massage tels que définis par la Fédération française de
massages bien‐être.
Le massage bien être est un accompagnement personnalisé, par le toucher, utilisant
un ensemble de techniques manuelles pour favoriser, entretenir et optimiser le bien‐
être global du client.
Le massage bien-être constitue un univers professionnel spécifique. Il ne relève ni du
champ du et de l’esthétique, ni du champ du massage thérapeutique tel que défini par
le code de la santé publique.
Le présent code de déontologie s’applique aux masseur·se·s, praticien·ne·s en exercice,
ainsi qu’aux stagiaires en formation, aux formateur·trice·s et aux organismes de
formation.
I. Éthique des masseur·se·s, praticien·ne·s en massages bien‐être
1. Bienveillance et probité
Le·la masseur-se, praticien-ne en massage bien‐être fait preuve de bienveillance à
l’égard de son client et de probité en toutes circonstances. Dans l’exercice de son art,
il·elle prend en considération l’ensemble des spécificités physiques et psychologiques
de son client.
3. Non discrimination
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être ne peut refuser de fournir des
services à une personne pour des raisons de race, de sexe, d’orientation sexuelle, d’état
civil, d’âge, de religion, de convictions politiques, d’origine ethnique ou nationale, de
condition sociale ou de handicap.
Toutefois, et selon ses choix professionnels et sa formation, le·la masseur·se,
praticien·ne en massage bien‐être peut se spécialiser dans une pratique ou un public.
Cette spécialisation doit être explicite.
Dès lors qu’elle n’autorise pas un niveau satisfaisant d’analyse du besoin et des
éventuelles contre‐indications, la barrière linguistique peut constituer un motif de refus
de la prestation.
4. Formation et champ de compétences
Pour exercer, le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être doit être titulaire d’une
formation d’un minimum de 300 heures et conforme au référentiel de compétences du
métier. Ses titres professionnels doivent être tenus à la disposition de sa clientèle.
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être informe son client de la nature de
sa formation, de sorte à éviter toute fausse représentation de son niveau de
compétences ou de la nature de ses services. Si la
santé du client l’exige, il·elle lui propose de consulter un professionnel de santé.
Dans l’exercice de ses fonctions, le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐ être
doit tenir compte des limites de ses aptitudes, de ses connaissances ainsi que des
moyens dont il·elle dispose. Il·elle ne doit pas, notamment, entreprendre des services
pour lesquels il·elle n’est pas suffisamment préparé·e ou formé·e. À ce titre, il·elle est en
droit de refuser des services n’entrant pas dans son domaine de compétences.
il·elle peut demander que son client lui produise l’avis favorable ou les
recommandations d’un professionnel de santé.
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être assure la mise à niveau de ses
connaissances par un recours actif à la formation continue et à la veille professionnelle.
5. Confidentialité et secret professionnel
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être s’engage à respecter son devoir
de confidentialité en tout ce qui concerne les informations obtenues ou confiées par
son client. S’agissant des informations médicales qu’il·elle a à connaître, ou qui lui
sont confiées, il·elle est tenu par le secret professionnel.
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être organise son cabinet et l’accueil
de ses clients de sorte à ce qu’il soit matériellement possible de respecter la
confidentialité et le secret professionnel auxquels il·elle est tenu.
6. Indépendance professionnelle
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être ne peut aliéner son
indépendance professionnelle sous quelque forme, ou quelque raison que ce soit.
Il·elle ne peut servir un autre but que la qualité de sa prestation de massage dans
l’intérêt de son client. Il·elle se doit de refuser de créer ou subir toute situation de
conflit d’intérêt entre son activité de massage et toute autre pratique, professionnelle,
commerciale ou autre.
7. Interdiction des pratiques à caractère médical
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être veille à ne créer aucune
confusion entre la nature de son activité et toute pratique à caractère médical. Il·elle
doit s’abstenir de poser des diagnostics d’ordre médical ou de commenter les avis et
conseils des professionnels de santé. Il·elle ne peut en aucun cas
garantir, directement ou indirectement, la guérison d’une maladie, d’une blessure ou
de toute pathologie, ou abuser de l’inexpérience, de l’ignorance, de la naïveté, de la
vulnérabilité ou du mauvais état de santé de son client.
8. Interdiction des pratiques à caractère sexuel
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être ne peut en aucun cas proposer
des services d’ordre sexuel ou de nature à créer la confusion entre massage et
prestation sexuelle.
9. Interdiction des pratiques à caractère religieux ou sectaire
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐
être s’interdit tout prosélytisme et toute pratique à caractère religieux ou sectaire.
10. Massage des mineurs
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être ne saurait accepter une
prestation pour un mineur sans le consentement d’un parent concernant les
modalités et limites du massage pratiqué. Si le parent le souhaite, il peut être présent
durant la prestation.

II. Devoirs envers les clients
11. Confiance et transparence
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐
être doit établir une relation de confiance avec son client. Pour cela il·elle doit, notam
ment :
‐ faire acte de transparence concernant ses techniques de massage bien‐être et
fournir les explications nécessaires à leur bonne compréhension ;
‐ conduire un entretien préalable au massage de sorte à identifier et respecter les
besoins et attentes du client. En cette occasion, identifier les précautions d’usage et
possibles contre‐indications ; identifier et respecter les limites physiques,
psychologiques et émotionnelles du client.
12. Libre choix et libre arbitre du client
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être ne doit en aucune façon porter
atteinte au libre choix du client de faire appel à un autre professionnel de son choix.
Il·elle ne doit pas inciter le client de façon pressante ou répétée à recourir à ses
services.
Il·elle doit par ailleurs exclure tout ce qui pourrait constituer une manipulation
psychologique de son client, qu’elle soit volontaire ou non, ni le conduire à faire des
choix de vie ou de comportement.
Il·elle doit s’abstenir d’intervenir dans les affaires personnelles du client sur des sujets
qui ne relèvent pas de sa compétence professionnelle.
13. Environnement de travail
Quel que soit le lieu où il exerce, le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être
doit s’assurer que soient respectées les conditions indispensables à la qualité de sa
prestation, à l’application des règles d’hygiène et au respect de la pudeur de son
client.
14. Hygiène et sécurité sanitaire
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être met en œuvre des protocoles et
techniques en mesure de garantir l’hygiène et la sécurité sanitaire de sa clientèle.
Il·elle exerce dans le strict respect des standards professionnels et applique les
mesures édictées par les pouvoirs publics. Il·elle peut refuser une prestation pour un
client qui ne respecterait pas les règles.
15. Respect de la pudeur du client
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être doit identifier et respecter les
représentations et besoins pudiques de son client. Il·elle veille à ne pas faire pression
sur celui‐ci. Il·elle organise des modalités d’accueil, d’installation et de départ conçus
de sorte à préserver l’intimité du client.
Quelle que soit la technique de massage qu’il·elle utilise, il·elle doit être en mesure de
proposer une graduation de méthodes et outils de gestion de la pudeur adaptés aux
attentes spécifiques de chaque client.
En réciprocité, un client ne saurait imposer sa propre représentation de la pudeur à
son masseur bien‐être, qui peut alors refuser de pratiquer la prestation.
16. Droit de refus
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être est tenu d’accueillir toute
personne, sans distinction et conformément à son offre de massages. Il·elle est
cependant en droit de refuser des prestations, ou toute situation, portant atteinte à
son éthique et son intégrité physique et psychologique. Et notamment dans les cas
suivants :
‐ contrindication, ou suspicion de contrindication, pour la santé du client ;
‐ perte de confiance manifeste de la part du client ;
‐ incitation de la part du client à l’accomplissement d’actes illégaux, injustes ou
frauduleux ; non respect des bonnes pratiques sanitaires et d’hygiène ;
‐ harcèlement, abus sexuel, et toutes sortes de violence psychologique, verbale ou
physique de la part du client ;
‐ si le client est sous l’effet de l’alcool, d’une drogue ou de toute substance illicite.

III. Exercice de la profession de masseur·se, praticien·ne en
massage bien‐être
17. Responsabilité professionnelle
Pour exercer, le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être se doit de souscrire
une assurance responsabilité civile et professionnelle couvrant, y compris, les
éventuelles conséquences de ses gestes professionnels pour la santé du client.
18. Cumul avec une ou plusieurs autres activités
La pluriactivité est autorisée à le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐
être, sous réserve du respect des principes qui suivent :
‐ le présent code de déontologie s’applique à l’activité de massage, à charge pour
le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être de respecter par ailleurs les
réglementations et éthiques propres à ses autres activités ;
‐ en cas de cumul avec une profession de santé, il·elle doit veiller à caractériser la
nature de ses offres en distinguant clairement celles qui relèvent, ou non, de la
thérapie ;
‐ en cas de cumul avec une profession de médecine douce ou de santé holistique,
le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être doit veiller à caractériser ses
offres de sorte à ne créer aucune confusion ou ambiguïté quant au caractère non
thérapeutique de sa pratique de massage ;
‐ en cas de cumul avec une profession de coaching, de développement personnel
ou d’accompagnement psychologique, le·la masseur·se, praticien·ne en massage
bien‐être doit veiller à ce qu’il n’y ait pas altération du libre choix du client à recourir à
ses prestations de massage.
Dans tous les autres cas, le·la masseur·se, praticien·ne en massa e bien‐être doit
veiller à éviter toute confusion ou amalgame entre ses prestations de massage et ses
autres activités, de sorte à préserver la qualité des activités de massage, à
individualiser le périmètre de ses responsabilités de masseur·se et à éviter toute
situation de confusion quant à la nature de la prestation vendue.
19. Relations avec les professionnels de santé
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être doit s’abstenir de commenter ou
critiquer les avis et conseils des professionnels de la santé. De même, il·elle s’interdit
de donner des conseils sur les médicaments prescrits par des professionnels de la
santé.
20. Conflits d’intérêts
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être doit préserver en tout temps son
indépendance et éviter toute situation où il·elle serait en conflit d’intérêts, notamment
dans la délivrance de conseils et la recommandation de produits.
21. Honoraires
Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien‐être doit afficher ses tarifs en faisant
en sorte qu’il ne puisse y avoir aucune ambiguïté quant à la nature des prestations,
leur durée et leur prix, y compris leurs conditions d’annulation.
22. Publicité loyale et non concurrence
L’action commerciale et la publicité pratiquées par le·la masseur·se, praticien·ne en
massage bien‐être ne saurait être mensongères, trompeuses, incomplètes ou
susceptibles de créer la confusion et d’induire en erreur.
Pour promouvoir et commercialiser ses activités, le·la masseur·se, praticien·ne en
massage bien‐être se doit d’utiliser des méthodes et arguments respectueux de ses
confrères et de l’image de la profession. Il·elle s’interdit la publicité comparative et
tout autre moyen comportant dénigrement ou dévalorisation des pratiques d’un
autre masseur bien‐être ou d’une autre méthode de massage bien‐être.
23. Informatique et liberté ‐ RGPD
Les outils de gestion de la relation clients et de communication auprès de la clientèle,
manuels comme informatiques, doivent être conformes aux normes sur la gestion des
fichiers nominatifs de données et au règlement général sur la protection des
données.
24. Activité salariée et sous‐traitance
Lorqu’il·elle exerce son activité à titre salarié, comme sous‐traitant, ou tout autre
posture susceptible de créer un lien de subordination, le·la masseur·se, praticien·ne en
massage bien‐être ne saurait renoncer aux obligations du présent code de
déontologie. Il en est de même pour son employeur ou donneur d’ordre, qui doit créer
des conditions d’exercice permettant le respect des obligations du présent code de
déontologie

Contact

Vous pouvez me contacter via le formulaire suivant pour prendre rendez-vous ou me demander des renseignements sur les soins et formations. Vous pouvez aussi me suivre sur Facebook ou Instagram ou me contacter par téléphone au 06.66.59.93.68